Arrivée à Vilnius en taxi : Le taxi roulait très vite à travers la périphérie de la ville. Le chauffeur fonçait et a fini par trouver la rue en tournant en rond. Il a trouvé le petit hôtel qui se cachait au bout de l’allée en demandant à un passant. Il est sorti de sa grosse voiture pour ouvrir le coffre et réclamer son dû. Environ 12 €. Il pris les billets et il a gardé la monnaie, environ 5 € pour se payer un petit pourboire Il a indiqué du doigt où se trouvait l’hôtel avant de s’engoufrer avec énergie dans sa grosse bagnole. Il est parti en trombe ... Depuis l’aéroport, il y a une navette ferroviaire qui rejoint la gare centrale de Vilnius pour environ 1€. Aucun pourboire est demandé ! Un Nouvel An sous la neige à Wroslaw : Sobotka est un petit village au sud de Worslaw. Imaginez passer le nouvel an sans manger et sans boire dans le froid dans un petit hôtel pas chauffé. Dehors, ils font la fête. C’est “Sylvester” en Pologne En partant à Wroslaw le 1er janvier, il y avait un seul bus dans la journée. En langue polonaire, un jeune racontait des histoires drôles et amusaient les voyageurs. Impossible de comprendre les plaisanteries. Mais il faisait rire. A Wroslaw, les restaurants étaient vides au premiers jours de janvier. Les salles sont spacieuces et les repas très copieux. Les serveurs s’ennyaient car la salle à manger était vide après les fêtes. C’était le moment idéal pour faire un vrai festin. Le métro de St Petersbourg : Il était minuit passé. Le métro de St Peterbourg commençait à se vider. Des jeunes russes, grand et forts étaient rentrés dans la rame. Ils fêtaient quelque chose. Ils étaient bien saoûl. L’un d’eux titubaient et est tombé sur une banquette sur une dame. Il s’est simplement excusé. La traversée d’un parc en pleine nuit n’était pas indiquée. On entendait des cris et des gens qui devaient s’énivrer. Il est toujours possible de faire une mauvaise rencontre. L’alcool, la violence Fouille des bagages en Pologne : La car venait de s’arrêter plusieurs heures à la frontière polonaise en venant d’Ukraine. Une personne n’avait pas son visa en règle. Alors le bus est resté à attendre la régularisation du passager. Puis le bus est reparti en pleine nuit sur les routes polonaises.Il est à nouveau arrêté par une voiture de la douane. Il est environ 3 heures du matin. Il y a une fouille des bagages. Tous les voyageurs doivent descendre avec leurs valises. Les douaniers finiront par trouver des cartouches de paquets de cigarettes dans les bagages d’un voyageur. Fiers d’eux, ils commencent à fumer une cigarette en ouvrant un paquet. Puis ils confisquent toute la marchandise avant de faire payer une amende au voyageur malchanceux. Manque de chance pour lui, il n’a pas un sou sur lui. Comment peut-on voyager sans un sou en prenant le risque de passer de la marchandise illégalement. Si il ne paye pas, il reste à la frontière. Alors commence un élan de solidarité entre les voyageurs. L’amende est payée et nous pouvons repartir avec le voyageur sans un sou qui promet de rembourser sa dette en arrivant à Paris. 2 jours dans un bus en Roumanie C’est long deux jours. Parti de Dijon dans un bus croate, celui-ci s’arrête à Milan sur une gare routière où se rejoignent les autres lignes internationales routières. C’est un bus roumain venant d’Espagne qui part pour la Roumanie. Après un long voyage à travers la Hongrie, c’est l’arrivée en Roumanie avec des routes en mauvaise état. Impossible de dormir sur cette route qui semble être assemblée de dale de béton qui résonne comme un vieux chemin de fer. La frontière franchie, le bus s’arrête à Timisoara, théatre de la révolution roumaine en 89. Il repart en pleine nuit. L’autocar est remplit de roumains. Vers 3h du matin, il y a un changement de bus pour Bucarest. Beaucoup de voyageurs descendent. L’arrivée à Bucarest est prévu vers 13h00 après deux jours de voyage. A 50 km de Bucarest, le bus se vide avec des arrêts de plus en plus fréquents. Un moment d’assoupissement et des voyageurs profitent du moment pour fouiller mes bagages et voler le passeport avec l’argent de voyage. L’arrivée à Bucarest ne sera pas simple sans passeport et sans argent. Le consulat conseille de déclarer le vol à la police locale et de payer un interprète pour signer la déclaration écrite en roumain. Que raconter et qu’inventer car la police locale n’acceptera pas l’enregistrement d’un vol qui s’est passé en dehors de Bucarest. Alors il faut de l’ imagination pour raconter une histoire ... Arnaque dans un restaurant touristique à Bratislava : Il faut se méfier des restaurants touristiques. Ce jour là, il pleuvait beaucoup. Dans le centre historique de Bratislava, il y avait un restaurant qui offrait une carte de menus intéressants et à un prix modique. Alors plutôt que de se mouiller, pourquoi ne pas tenter sa chance dans un restaurant touristique. Mais la carte pour un français est trompeuse. Il ne figurait sur la carte que le prix de base. Au moment de l’addition, il fallait tenir compte du service, du pourboire inclus d’office, du prix du pain en plus, de la location des couverts en plus et bien sûr de la TVA qui a finit pas doubler le prix de base. Un bon conseil, éviter les restaurants touristiques dans les zones touristiques sauf accompagnés d’un bon guide local. Arrivée en Ukraine : Cela faisant maintenant plus de 30 heures que le bus roulait après avoir quitté la France, traversé l’Allemagne et la Pologne. La frontière ukrainienne était passée avec le contrôle des passeports et des visas. Il y avait beaucoup de places vides sur cette ligne. Probablement à cette période, il y avait peu de voyageurs. Le bus conduit par des chauffeurs ukrainiens s’arrêtent dans une station essence avec un pompiste qui vient servir. Il y avait dans ce bus, plusieurs ukrainiennes qui sont sortis. Elles ont profité de l’arrêt pour acheter quelques bières. Les cannettes d’un demi litre vidées les unes après les autres, c’était la fête dans ce bus en pleine nuit. Il restait une longue route qui traversait le pays pour rejoindre Kiev. Les filles complètement bourrées ont fini par s’endormir. Il y avait un silence dans ce bus, ce dimanche matin, sur la route de la capitale. Cette route qui traverse des forêts n’en finissaient pas. En début d’après-midi, l’autocar arrivait à la gare routière de Kiev pleine de monde ... Les chiens de Bucarest : On les entend en pleine nuit aboyer ou se battrent en eux. Les chiens de Bucarest serait un héritage de Céaucescu. Ils ont été abondonné après la révolution en Roumanie car les maîtres n’avaient plus les moyens de les entretenir. Ces chiens errent dans des quartiers dans les rues. On les aperçoit dans des rues isolées de la capitale. S’ils ne semblent pas agressif, il vaut mieux s’en méfier car ils évoluent en bande et certains sont affamés. Valise égarée à Prague : Dans la navette qui conduit de l’aéroport au centre ville, le coffre est rempli des valises des voyageurs. Premier arrêt à la première station de métro, quelques voyageurs descendent et prennent leurs valises. Cette soirée fraîche de janvier, il fait déjà nuit. Dans le coffre sombre, il est difficile de distinguer les valises qui sont noires. C’est au moment de prendre sa valise que l’on s’aperçoit qu’un voyageur s’est trompé et à emporter la mauvaise valise et laissé la sienne. Heureusement, dans la valise emportée par erreur, il y avait les coordonnées de l’agence qui géraient les appartements Cela à permis de retrouver la valise emportée par erreur et de faire l’échange avec la mauvaise valise. Petite mésaventure qui aurait eu des conséquences si le passeport avait été laissé dans les bagages. Les voyages en bus : Les voyages en bus sont souvent longs. Le temps passe rapidement car les nuits sont courtes. Le bus s’arrête environ tous les quatre heures pour relayer les chauffeurs. Alors les journées se passent à dormir entre les arrêts. Les kilomètres s’enchaînent et les heures passent. Il peut arriver que des voyageurs se disputent en pleine nuit et que le chauffeur soit obligé d’intervenir.  On ne trouve pas beaucoup de touristes sur ces lignes internationales mais des familles qui travaillent en France et qui repartent chez eux, le temps de quelques jours. Les aéroports : Beaucoup d’aéroports ont été refaits pour leur donner une dimension internationale et européenne. Mais certains restent déserts car le trafic aérien est peu important. A Varna, le samedi soir, il y a pratiquement pas de voyageurs à part ceux qui vont embarquer. Pareil à Sofia ... L’aéroport de Frankfort est une ville qu’il faut traverser pour arriver au bon terminal.